L’impact psychologique du covid-19 sur les populations

17 décembre 2020 Non Par Agency Press

L’on est en droit de se demander si la pandémie du coronavirus covid-19 a ou n’a pas un impact psychologique, sociologique et voire même psychiatrique.

Imposer un confinement aux populations n’est pas neutre sur la coupure du lien social et familial : bon nombre de personnes n’ont que très peu d’interactions physiques avec d’autres mais aussi une coupure des relations sociales. Même en ayant accès aux réseaux sociaux, le virtuel ne peut pas remplacer le contact ou la présence physique.

Mais alors, que faire ?
Il faut alors veiller sur vos proches, que ce soit chez vous dans votre cercle familial proche, ou bien à distance pour les personnes en-dehors du cercle intime. Maintenir le contact avec chacun : personne âgée, jeunes, ou adultes.

Le télétravail n’est pas forcément synonyme de travail collaboratif réel, l’échange de messages n’est pas perçu comme une relation réelle de travail car elle n’impose pas de présence physique.

Les réunions à distance – via les outils numériques – peuvent et doivent être maintenues lorsque la présence physique n’est pas indispensable : en plus de générer des économies de transport, l’écologie s’y retrouve également.

C’est peut-être au déconfinement total que se révéleront les problèmes sociétaux : ruptures amoureuses ou familiales, décès naturels ou suicides de personnes âgées dus à l’isolement, dépression ou santé mentale abîmée, troubles compulsifs, et augmentation du nombre de personnes isolées ayant déclenchées un comportement du syndrome de diogène.

Source : Le coronavirus covid-19 a un impact psychologique